La condition primordiale est déjà inscrite sur la fiche métier. C’est-à-dire connaître les stratégies du marketing digital et avoir une connaissance partielle de la partie hardware d’un site. Un bon référenceur est ainsi un expert du Search Engine Optimisation ou SEO capable de mettre en tête de liste, grâce à sa recette propre, le site internet qu’il est mandaté à gérer de manière partielle ou totale. Mais quelles recettes parle-t-on exactement ? Toute de suite les réponses.
1. Enrichir ses expériences
Google, Yahoo, Bing n’affichent pas les sites en tête de liste par préférence ou à leurs guises. Encore faut-il avoir sa propre audience par des techniques précises comme celles d’alias-referencement.com pour que le site figure dans les SERPS ?
Un professionnel dispose alors assez d’expérience (qu’il a réalisé en bénévole ou payant) pour enrichir son profil. Il est aussi équipé autant en matériels qu’en logiciels et d’applications. À leurs côtés, il intègre une communauté de travailleurs de mêmes domaines ou en interdépendance avec le sien. Il doit également assoir une bonne veille informationnelle sur les innovations en techniques et concernant le e-commerce.
2. Avoir l’ingrédient clé
Outre les outils de production connue de tous les développeurs, le référencement classique fait intervenir des outils de production, de gestion et d’analyse, mais le critère qui lui attribuera la qualification d’être un « bon » est totalement différent.
Ainsi, il se doit de connaître l’entreprise notamment sa présence sur le web. Voici les bonnes questions à poser : quelle est la position de mon site au sein de ses concurrences qu’elle en soit de près ou de loin ? Quelle est réellement la caractéristique du marché ? Quelle ligne éditoriale doit-on adopter pour se distinguer ?
Pour cela CMS, WordPress, Drupal, Symfony, Zend, Google Analytics, Yooda Insight, Semrush ne doivent plus avoir de secrets pour vous.
3. Apporter du dynamisme à son audience
En théorie, il s’agit de produire des contenus agencés avec les techniques de SEO (balises, densité des mots clés, identification ou achat des mots-clés), mais sont aussi accrochant. Entre autres, un bon référencer n’affiche pas seulement son site dans les premiers listes, mais s’engage également à perdurer ce rang. On parle alors de taux de rebond générée lorsque le visiteur reste plus longtemps sur le site.
En outre à l’optimisation des contenus, un bon référencer s’assure, que son site soit assez animé (on-page) et soit présent sur d’autres plateformes ou sites externe (l’off-page et le backlinks). Il est aussi tenu de se charger de sa surveillance continuelle.
4. La touche personnelle
La créativité, l’illusion, l’imagination sont les maîtres mots à adopter pour devenir un bon référencer. Ne mélangez pas ainsi d’innombrables qualités en vous pour que votre personnalité ressorte naturellement. Soyez spécialiste d’un thème que vous y cernez même les grains de poussière et êtes en mesure d’y apporter votre touche perso.
Toutes les stratégies marketing doivent être alors en cohérence pour la bonne visibilité d’un site. Un bon référenceur est force de proposition, toujours à l’œil avec une capacité d’écoute et surtout agile en informatique et web.